"La surface du cercle de rayon R est égale au carré de con", dit MIL dans un délire poétique...
Que dire lorsque vous avez trouvé un trésor que personne ne veut voir, ni entendre, parce qu’il touche un sujet fondamental, et qu’il va à l’encontre de la tradition et des idées reçues jusqu’à remonter à l’origine du langage ? Rien ! Vous passez pour un idiot, vous attendez que le Temps fasse son affaire ironique, et vous en prenez la meilleure partie en vous régalant de cette fabuleuse liberté donnée par le sentiment d’avoir compris quelque chose de neuf avant les autres.
Depuis Icare, c’est l’histoire d’un « I solé », comme le maître du Jeu des Perles de Verre (Hermann Hesse), un « jeu » qui trouve ici une forme jouable depuis la nuit des Temps si l’on accepte l’idée que le mot était né du nombre qui avait créé « l’Ordre » du langage de Babel.
Ce livre n’a pas d’autre prétention que d’être une tentative d’explication du « jeu », la conclusion d’une longue étude de sept ans des Bucoliques de Virgile et de la découverte du « COD E » révolutionnaire qu’il y a développé, dévoilant l’origine arithmétique des divins concepts inventés par l’Homme depuis les débuts de l’HI storia.
Tout était déjà consigné dans les trois pyramides de Gizeh, chez Homère, Virgile, Horace, et Ovide, et dans les « Livres sacrés » de toutes les religions qui valident le concept humaniste du partage et de l’unité dans la liberté : il n’y a qu’un seul dogme, c’est celui du point vernal et du verlan, donc pas de vérité unique, hormis, dit la langue d’O.C, ou d’AUC depuis la fondation du dieu Orbe d’Amor/Roma, l’approche de la Conjonction des Opposés qui commença dans l’eau avec NOE, et finira dans l’O... de la quadrature du cercle!
ILM.